Le week-end écoulé, des combats intenses ont eu lieu , à Pensa, à Natiaboani, à Kongoussi, à Ouahigouya et à Tankoualo quand des milliers de terroristes ont lancé des assauts simultanés contre des positions des FDS et des VDP. Selon l’AIB qui cite des sources sécuritaires, grâce à la combativité des boys et aux appuis aériens, de très nombreux criminels ont été tués, leurs matériels brûlés ou récupérés en fonction des zones.
Ce week-end, les terroristes dans une parfaite synchronisation, ont déferlé sur plusieurs positions des Forces combattantes à travers le territoire burkinabè.
Le premier assaut terroriste a eu lieu le vendredi 23 février 2024 aux environs de 18h à Pensa (Centre-nord) contre un poste de VDP.
Après la riposte des patriotes, les assassins à motos prennent la fuite. Mais ils sont suivis discrètement par les vecteurs aériens jusqu’à leur halte sous un grand arbre.
Un missile est alors largué sur eux, cramant la majorité et leur matériel, pendant que les rescapés se cherchent. L’essentiel des attaques terroristes a eu lieu le dimanche 25 février 2024.
Très tôt, plusieurs centaines de terroristes sur des motos appuyés de véhicules montés de lourdes mitrailleuses, se lancent sur le détachement de Natiaboani dans la région de l’Est.
Les combats sont violents et le détachement est submergé par l’arrivée de renforts côté ennemi. Ils sont à présent près d’un millier de terroristes qui marchent sur la base. Un grand groupe se détache et entrent dans le détachement.
Les criminels sont stoppés par un missile en provenance des cieux. S’en suit la débandade.
D’autres vecteurs arrivent et la chasse aux fuyards débute.
Une colonne de motos de fuyards est aperçue vers 6h du matin et frappée par un puissant missile. Une trentaine de minutes plus tard, un autre groupe se cache sous un grand arbre avec son pickup et ses motos, croyant être tiré d’affaires. Ils sont pulvérisés dans leur cachette. Un autre missile expédie un deuxième pickup rempli de munitions et ses occupants en enfer, au moment où il tentait vainement de se camoufler sous un arbre.
Au même moment, au Nord de Kongoussi, au moins un millier de combattants terroristes se lancent sur la position temporaire du 16e Bataillon d’intervention rapide en mission dans la zone de Yalka, les vecteurs aériens voient une longue colonne de plusieurs kilomètres de fuyards, après les combats. Ils sont soigneusement filés jusqu’à leur arrêt sous un grand arbre pour faire le point. Là les terroristes sont violemment frappés par un missile. Les rescapés prennent la fuite laissant leurs acolytes brûlés dans un grand feu.
Mais les vecteurs aériens vont continuer la traque des assassins.
Deux groupes de fuyards font jonction sous un arbre pour poursuivre leur route.
Sauf que le missile tiré par un vecteur aérien va les anéantir pendant que les vecteurs aériens multiplient les frappes contre les autres criminels.
Autre front, même réalité. Le 25 février 2024 vers 7h, c’est le Bataillon mixte de marche de Toessin dans la zone de Ouahigouya qui est pris pour cible.
Des bataillons d’intervention rapide de retour d’escorte de Sollé, alertés, quittent Ouahigouya (Nord) et prennent les fuyards en chasse.
Ils en neutralisent le maximum dans d’intenses combats sous la surveillance des vecteurs aériens.
Le dernier assaut a eu lieu vers 15h, lorsqu’un millier de terroristes se dirigent vers le détachement de Tankoualou à l’Est.
Les vecteurs aériens lancent des missiles sur les assassins massés devant l’entrée de la base et qui tentent d’y pénétrer.
Les terroristes vont brûler dans un feu ardent avec leur logistique.
La victoire est totale pour les Forces combattantes et les opérations de reconquête territoriale se poursuivent sereinement.